Ce vendredi 7 janvier 2022, nous avons reçu dans notre classe, à l’occasion d’un cours de géographie, une ancienne étudiante de classe préparatoire littéraire.
Il y a 10 ans, Alexandra Pech suivait les cours d’hypokhâgne, ici au lycée Jeanne d’Albret. C’était avant qu’elle ne poursuive, après son année de khâgne, une licence d’anthropologie à l’université Paris Descartes. Deux ans plus tard, elle partait pour l’Équateur. Dans le cadre de son mémoire de master, elle y étudie les habitudes alimentaires ainsi que les techniques d’agriculture locales. Cette première expérience de recherche fut, pour Alexandra « tant riche sur le plan intellectuel que sur le plan humain ».
Mais son parcours ne s’achève pas là. Toujours par passion pour l’anthropologie, c’est-à-dire l’étude de l’être et des groupes humains sous tous leurs aspects, à la fois physiques et culturels, Alexandra revient en France pour y débuter une thèse de doctorat. Dans ce travail d’envergure, portant sur l’éducation alimentaire dans les collèges en France, elle peut compter sur ses trois directrices et directeurs de thèse, qui l’accompagnent depuis des années maintenant. Bien consciente des enjeux que représente l’alimentation des plus jeunes, la future docteure en géographie prévoit de soutenir sa thèse avant la fin de l’année 2022.
Assurément, par son sérieux et son application, elle a su renforcer l’ambiance studieuse de notre groupe classe. Nous remercions chaleureusement Alexandra pour les riches savoirs qu’elle a pu nous transmettre quant à notre avenir éventuel après la classe préparatoire littéraire.
Guillaume L., étudiant en hypokhâgne